Ramon Keimig & Nico Fremz
- Quand : du jeudi 5 septembre 2024 au dimanche 20 octobre 2024
- Vernissage : jeudi 5 septembre 2024
- À quelle heure : 18h-21h
- Où : Place du Jeu de Balle 68, 1000 Bruxelles
- Combien : Entrée libre
- + d'infos : Voir l'event FB
Présentation
Le Sterput a le plaisir d’accueillir les artistes Ramon Keimig et Nico Fremz du 5 septembre au 20 octobre 2024.
Vernissage
► Jeudi 5 septembre 18h-21h : Vernissage en présence des artistes et sortie du livre de l’exposition.
Autour de l'expo
► Samedi 7 septembre 15h-17h :
Workshop expo « Dessin et collage en photocopie » donné par Ramon Keimig et Nico Fremz.
Inscriptions : info@sterput.org
Ramon Keimig
Ramon Keimig vit et travaille en Allemagne. Son travail, très proche de la culture DIY, trouve ses racines dans la gravure et le dessin. Il utilise de l’encre et des crayons sur papier, qu’il combine avec des dessins créés numériquement. Il modifie les éléments dessinés à la main à l’aide de programmes d’imagerie numérique et de dessin ou les reproduit à la photocopieuse, à l’imprimante laser et au scanner. Il prend pour thème la fragilité technique et incorpore des perturbations aléatoires comme nouveaux éléments dans les compositions.
Inspirés par l’esthétique de la photocopie des années 1970 et 1980, ses motifs rendent hommage à la culture cassette, aux bandes dessinées underground et aux prospectus de concerts.
Nico Fremz
Nicolas Fremion est né en 1983 à Grenoble. Il vit et travaille entre l’Ardèche et la région parisienne. Privilégiant le petit format, à quelques exceptions près, il pratique un dessin noir et blanc, extrêmement fouillé, saturé de motifs et de symboles. Ses compositions, souvent inspirées de l’art traditionnel asiatique (notamment des traditions chinoise, coréenne, japonaise, et plus récemment vietnamienne) se sont étoffées au fil des années, devenant un savant étagement de plans, entrelacs d’évènements hallucinés, agencés dans une perspective cavalière au cordeau. Dans ce déferlement d’architectures, de textures, de signes ésotériques, toute empathie avec les personnages représentés est exclue. Extrêmement codifiées et loufoques, les représentations de la violence et du chaos qui y figurent, voient leur charge émotionnelle annulée, par le minutieux dépliage cathartique s’étalant sur le papier.
http://www.instagram.com/nicofremz/